Archives par catégorie: Critiques

Troubles dans le réel – Les a-mensonges d’Eric Kaiser

Au premier abord, les deux parties de la série représentent un monde réel, une structure de jeu pour enfant comme une peinture d’architecture centrée dans un paysage, et un portrait. A y regarder de plus près, l’ombre de l’objet architectural n’est pas réelle. Elle continue l’objet, de manière autonome mais tout de même reliée à […]

Critique de “Je(ux) d'(h)ivers” par Roland Huesca

Je(ux) d'(h)ivers ou la rhétorique silencieuse des corps Brossés sur les toiles s’érigent des corps. Des corps, encore et encore. Corps mémoires, corps passés, corps présents, corps habités et façonnés. Au moment où les skieurs s’élancent sur les pistes de Sotchi pour glaner quelques médailles olympiques, Éric Kaiser, en résidence à Leipzig, met en scène […]

Critique de “Shelters” par Marie Annick Gaudaré

Shelters Avec cette nouvelle série, Eric Kaiser s’inscrit dans le cercle très restreint des artistes peintres du début de ce XXIème siècle marqués par la tradition du portrait, comme Lucien Freud ou Elizabeth Peyton. Les personnages portraiturés sont associés, par une composition en diptyque, à un abri. Le thème de l’abri fut motivé par les […]

Critique de “We Know But…” par Marie Annick Gaudaré

We Know But… Le nouveau travail d’Eric Kaiser, présenté également cette année à la Galerie Pi, exprime diverses préoccupations. D’abord une préoccupation iconographique : il cherche en effet à témoigner des traumatismes de son temps, en particulier des violences faites au corps, aux populations mais aussi à l’esprit de chacun d’entre nous lorsqu’il réalise son […]

Critique de l’exposition “Prisonniers de Lumière” à Kansas City par Marie Annick Gaudaré

Prisoner of Light

Prisonniers de Lumière Exposer à Kansas City est pour Eric Kaiser non seulement s’engager vers une reconnaissance mais aussi assumer la responsabilité d’un travail accompli. Cet engagement s’est révélé être un tremplin vers une libération, une personnalisation de sa peinture. “J’ai eu longtemps besoin, dit-il, de m’assurer que j’étais un peintre dans l’idée de la […]