Mes orientaux
A l’époque des voyages de Charles Cournault de nombreux peintres cèdent à la mode orientaliste et se rendent en Algérie ou au Maroc pour documenter leurs œuvres. Certains n’ont pas la chance d’être envoyés sur place par l’état, comme Delacroix ou de disposer de la fortune de Cournault, pour y puiser leur inspiration. C’est le cas de Théodore Géricault (1791-1824) qui se contentera de convier dans son atelier des « orientaux », comme Mustapha, rencontrés dans Paris et qu’il s’appliquera à orientaliser. (10)
« Mes orientaux » sont des descendants de ceux qu’on dépeignait au XIXème et comme Géricault j’ai pris le parti de choisir des individus de mon entourage. J’ai utilisé la bichromie ocre rose et blanc en rappel de celle de la tour minaret de la Douëra.
Installation mes orientaux : 9 peintures de formats différents sur toile- tempera et acrylique.
Ya, Ra, Ab, Sa, Al, Wa, za et Mustapha
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon
La Douëra revistée-Grand Salon