Aux préoccupations politiques et sociales des précédentes séries («Abris» et «on sait mais…») succède une série plus onirique faisant référence à la Suissitude et à la surabondance d’images propre à notre époque. L’inquiétante étrangeté dans la combinaison des éléments est, selon la perception du spectateur, soit renforcée soit contrebalancée par la figuration de la mise scène et par l’harmonie des couleurs. Ainsi se développe un discours pictural figuratif au sens multiple entre souvenirs, rêves et citations.
The political and social preoccupations of the previous series (“Abris” and “on sait mais…”) are succeeded by a more dreamlike series referring to Swissness and the overabundance of images characteristic of our times. The disquieting strangeness of the combination of elements is, depending on the viewer’s perception, either reinforced or counterbalanced by the figurative staging and harmonious colors. In this way, a figurative pictorial discourse with multiple meanings develops between memories, dreams and quotations.
Swiss Memories
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